Ce phénomène est d'autant plus marqué que le chien est jeune et que son système digestif n'est pas encore mature. Voilà qui demande donc quelques précautions, notamment avec un chiot ou un jeune Husky.
1/ L’alimentation
Il est vivement recommandé de ne pas changer le régime alimentaire de son Husky et donc la marque de croquettes à laquelle il a été habitué petit. La fausse bonne idée, lorsqu'un chien est dérangé, est de se dire tout de suite : il faut changer de croquettes. Non : le prétendu remède risque d'être pire que le mal ! Si une allergie alimentaire est toujours possible, l'explication se trouve généralement ailleurs. On commencera notamment par s'assurer que le chien :
2/ Les sorties
Il convient de ne pas laisser son chiot Husky (disons jusqu'à l’âge de 8 mois environ) sans surveillance étroite quand il est dans le jardin. En effet, celui-ci passera le plus clair de son temps la truffe collée au sol, à manger de l'herbe, des feuilles mortes, de la terre, des vers de terre, des gravillons, bref tout ce qui est à portée de babines. Bouses assurées dans les heures qui suivent…
Le cas classique est le suivant : le matin, les crottes sont bien formées, alors qu'elles ne le sont plus en fin de journée. Ne cherchez pas : le chiot a passé du temps à jouer dehors et/ou à s’exciter, son maître le surveillant à distance du coin de l'œil… sans vraiment se rendre compte de tout ce qu’il mettait à la bouche.
3/ Les jouets
Vigilance particulière avec les jouets et les doudous (que le chiot prendra généralement un malin plaisir à dépiauter, au risque d'ingérer des morceaux ou des bourres), les chaussettes, les lacets de chaussure et tous les petits objets qui pourraient traîner par terre. On veillera de même à tenir les poubelles ainsi que la litière du chat hors de portée du Husky. Dans tous ces cas, les conséquences peuvent être graves : diarrhée, vomissement, voire occlusion intestinale.
Retour aux questions "Besoins"